Faire la fête, c’est lâcher prise, s’abandonner, rêver, s’affranchir des limites, oublier pour un temps les contingences matérielles du quotidien. Par bien des aspects, faire la fête… c’est finalement l’exact opposé de la sobriété !
Est-ce à dire que la fête est forcément synonyme de gaspillage et de gabegie énergétique ?
En s’appuyant sur les exemples des fêtes de fin d’année et des festivals de musique, cette infographie nous rappelle en quelques chiffres l’impact économique de la fête, mais aussi son empreinte écologique.
Histoire de mieux comprendre à quelles conditions la fête pourrait devenir plus écologique.
Fête et droit, deux champs irréconciliables ? Ou les deux faces d’une même pièce, assurant la régulation de l’ordre social et mobilisables de concert ?
Cheminer vers la sobriété : L’altruisme est-il le balancier nécessaire à cette démarche de funambule ? « Pas si simple », répond la mathématicienne Ariadna Fossas Tenas
Aurianne Stroude, sociologue spécialiste de la transformation des modes de vie en lien avec les enjeux écologiques, décrypte le changement social qui opère au-delà des évolutions individuelles.
La Revue dessinée a publié plusieurs reportages sur les conséquences écologiques et sociales de nos usages digitaux. Avec humour, l'un de ces textes nous permet de prendre la mesure du piège écologique que constitue notre addiction au numérique.
Au cœur des débats qui entourent la redirection de nos organisations, le rapport entre transition et modernité interroge les ressources intellectuelles disponibles pour penser le futur.