Prendre soin des métiers du prendre soin
Les métiers du prendre soin souffrent d'un fort turnover. Pourtant, les facteurs d'engagement dans ces métiers très humains ne manquent pas. Alors, que se passe-t-il ?
Étude
Les vécus de violence dans le cadre des relations entre professionnels et usagers des services sociaux et médico-sociaux semblent être un phénomène de plus en plus prégnant
Article
Si toute notre vie sociale tient dans un smartphone, à quoi bon profiter de sorties nocturnes ?
Article
En se concentrant sur l’acceptabilité sociale des technologies, cette revue de littérature pose des repères sur les utilisations contrastées et controversées d’un terme qui s’est popularisé.
Interview de Pierre Vidal-Naquet
Sociologue et chercheur au CERPE, associé au Centre Max Weber
Étude
Comment expliquer le manque d'attractivité des métiers du prendre soin ? pourquoi on candidate, on tient, on s’en va ? Retrouvez la synthèse des enseignements des différentes enquêtes conduites sur ces questions.
Étude
Lorsque les contraintes ne permettent plus aux professionnels de surmonter les aléas, quelle place donnée à l’autonomie et au collectif de travail pour affronter les difficultés ?
Étude
Les travailleurs sociaux diplômés ne sont plus au centre du paysage dans la mesure où de nombreuses autres personnes exercent des métiers dans le social sans forcément être titulaires d'un des diplômes.
Étude
Comment et pourquoi être solidaires, auprès de qui et sur quels sujets ? ces questionnements font apparaître un renouvellement des causes et des approches portées par la jeunesse.
Étude
Les femmes migrantes et/ou racisées sont surreprésentées dans les emplois du prendre soin les moins valorisés. Est-ce le signe que ces métiers sont attractifs pour ces personnes ou faut-il y voir l’effet de dynamiques structurelles d’assignation ?
Étude
La masculinisation des métiers du care, si elle progresse, n’est que récente et peu avancée. Des enquêtés de sexe masculin nous disent pourtant l’attrait qu’ils éprouvent pour l’aide et le soin à la personne.
Étude
Si l’entrée dans les métiers de l'aide à la personne se fait parfois parce que l’on n’a guère d’autre choix, les facteurs d’engagement mobilisant des valeurs fortes de solidarité et d’humanité sont souvent présents.
Interview de Nina Sahraoui
post-doctorante au sein de l’équipe « Genre, Travail, Mobilités » du Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris