Homme, femme et entreprise : complexité d’une relation
Homme, femme et entreprise : complexité d’une relation
Texte de Patrick Deschamps
Le texte qui suit est rédigé avec le souci d’attirer l’attention, d’inviter à regarder, voire de simplement mettre en lumière quelques difficultés des ingénieurs, sortant de l’école, pour intégrer leur projet personnel au sein de leur projet professionnel.
Les femmes migrantes et/ou racisées sont surreprésentées dans les emplois du prendre soin les moins valorisés. Est-ce le signe que ces métiers sont attractifs pour ces personnes ou faut-il y voir l’effet de dynamiques structurelles d’assignation ?
La masculinisation des métiers du care, si elle progresse, n’est que récente et peu avancée. Des enquêtés de sexe masculin nous disent pourtant l’attrait qu’ils éprouvent pour l’aide et le soin à la personne.
Les métiers du prendre soin souffrent d'un fort turnover. Pourtant, les facteurs d'engagement dans ces métiers très humains ne manquent pas. Alors, que se passe-t-il ?
Comment expliquer le manque d'attractivité des métiers du prendre soin ? pourquoi on candidate, on tient, on s’en va ? Retrouvez la synthèse des enseignements des différentes enquêtes conduites sur ces questions.
Lorsque les contraintes ne permettent plus aux professionnels de surmonter les aléas, quelle place donnée à l’autonomie et au collectif de travail pour affronter les difficultés ?
Les travailleurs sociaux diplômés ne sont plus au centre du paysage dans la mesure où de nombreuses autres personnes exercent des métiers dans le social sans forcément être titulaires d'un des diplômes.
Comment et pourquoi être solidaires, auprès de qui et sur quels sujets ? ces questionnements font apparaître un renouvellement des causes et des approches portées par la jeunesse.
Si l’entrée dans les métiers de l'aide à la personne se fait parfois parce que l’on n’a guère d’autre choix, les facteurs d’engagement mobilisant des valeurs fortes de solidarité et d’humanité sont souvent présents.