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Note problématique « La ville servicielle »

Illustration représentant des individus marchant sur un passage piéton

Étude

Aujourd’hui, la moitié de la population mondiale vit en milieu urbain, on estime que cette proportion passera à 70% en 2050. Les villes qui sont traditionnellement des hauts lieux de concentration des services (services décisionnels, urbains, financiers, etc) seront amenées à évoluer sous le double effet de la massification et de la demande d’adaptation aux nouveaux modes de vie.

Dans ce contexte, dans une optique d’attractivité territoriale, il semble essentiel de développer une approche différenciante du territoire avec des services plus inédits et plus adaptés aux besoins des usagers et des territoires. En effet, posséder un profil serviciel varié et performant, avec des activités rares et de haut niveau peut être déterminant dans le classement de la hiérarchie urbaine.

De plus en plus d’auteurs plaident pour un développement des territoires centré autours de services. Si certains parlent de « modèle serviciel » ou de « ville servicielle », tous s’accordent sur un renouvellement de l’approche de l’action publique dans ce domaine.

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Date : 18/11/2015

Sommaire

 

I. Le contexte
1.
La ville intelligente
2. Les évolutions temporelles et la complexité des modes de vies

II. Les enjeux
1.
Des réponses aux défis actuels
2. Les attentes des citoyens ont évolué l’exemple de l’économie du partage
3. Optimiser la gestion de la ville : le concept de ville frugale
4. Améliorer le modèle de développement actuel

III. Une ville servicielle pertinente, agile et économique

IV. La gamme servicielle : quelques exemples mis en place sur le territoire du Grand Lyon

V. Les nouveaux modes de faire

VI. Le renouvellement de la gouvernance

VII. Les limites, les tensions et les contradictions