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L'économie collaborative

Illustration de la couverture de l'étude

Étude

Tendances prospectives

Combien d’articles dans la presse, combien de pitchs de start-up, combien de rapports de think-tanks ont depuis 2012 mis en scène cette « économie collaborative » ? Ils en ont vanté les bénéfices et le caractère disruptif, mais ils ont aussi parfois pointé ses limites et ses risques. Ce faisant, ils ont souvent profité du flou entourant sa définition et ont tour à tour cité des exemples aussi différents que Airbnb, Uber, La Ruche Qui Dit Oui, des supermarchés coopératifs, des plateformes de crowdfunding, des Fablabs, Wikipedia ou même Facebook et Google. A l'été 2016, coup de tonnerre !

En même temps qu’était publié le rapport Terrasse, témoignant enfin de l’intérêt du gouvernement pour cette dynamique, le rédacteur en chef de la revue Ouishare annonçait de manière un peu provocante que « l’économie collaborative, c’est fini ! ».

En fait, en annonçant la mort de l’économie collaborative, la communauté Ouishare abandonnait l’idée d’en donner une définition unifiée et nous rappelait qu’il ne s’agit pas d’un secteur économique ou d’un ensemble homogène d’entreprises qui appliquent un certain modèle d’affaire.

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Date : 21/07/2017

Sommaire : 

 

Décryptage
● L'économie collaborative est morte, vive l'économie collaborative ! 

Questions
1. De nouveaux modèles économiques aux effets disruptifs
2. Une révolution du travail ? 
3. Une qualité de service garantie ?
4. Un autre partage des richesses

Interview
● Alexandre Fourtoy, fondateur d'1kubator, structure d'incubation de start-up