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De rives à rives : Passages et franchissements

Illustration représentant la Saône traversée par un pont
© Musée Gadagne

Étude

Si la cité lyonnaise peut s’enorgueillir d’être traversée par un fleuve et une rivière, elle a dû, en conséquence, en subir les méfaits (inondations) et faire preuve d’ingéniosité pour les franchir.

S’ils représentent des enjeux stratégiques, les ponts sont aussi porteurs d’une dimension symbolique emprunte de croyance, peur et rite de construction.

Au cœur de l’agglomération, trente ponts, passerelles ou viaduc SNCF unissent les quatre rives lyonnaises, autant dire qu’ils sont constitutifs du phénomène urbain. Fils tendus entre les rives, leur présence est garante du développement urbain, de la fluidité des déplacements et de la cohésion territoriale de rives à rives.
Date : 01/10/2007

Sommaire : 

 

● Du Haut-Moyen-Age à la Renaissance, seulement deux ponts permettront le franchissement des fleuves

● Développement des modes de franchissements au gré de nouvelles techniques

● Les ponts, acteurs du développement de l’agglomération

● Les ponts, valeurs esthétiques et culturelles