Tendances prospectives : l'économie informelle
L'expression économie informelle fait traditionnellement référence à toutes les activités économiques de travailleurs et d'entreprises qui ne sont pas couverts, au regard de la législation ou de la pratique, par des dispositions formelles. Elle s'oppose ainsi à l'économie officielle et moderne qui assure aujourd'hui, dans les pays économiquement développés, l'essentiel de la production des biens et des services.Bitcoin et monnaies locales, marchandisation de la vie sociale et de l'économie domestique, auto-entreprenariat ou encore travail effectué par les consommateurs à la place des travailleurs, cette étude revient sur les grandes tendances actuelles de l'économie informelle.
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Une ville plus accueillante pour les femmes ?
Yves Raimbaud, spécialiste de la géographie du genre et chargé de mission égalité femmes-hommes, revient sur l'aménagement genré des villes. Il démontre à quel point la ville est construite sur des normes hétéro-sexuelles et viriles, sans cesser de dénoncer la banalisation du harcèlement des femmes dans un espace public qui leur est de facto hostile.
Terrains de boules, stades urbains puis skate parcs, violences urbaines majoritairement masculines, différences dans la vitesse, la fréquence et les horaires des déplacements à pieds ou à vélo... il dresse ici une liste non exhaustive de toutes les marques du sexisme urbain, et donne quelques exemples de villes qui tentent de diminuer ces disparités.
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A lire sur Ville Inclusive
Le community building : recrée une solidarité de proximité.
Après 8 mois d’un travail de « co-construction », la « mobilisation nationale pour les habitants des quartiers » passe à l’action: le 18 juillet dernier, le gouvernement a présenté une quarantaine de mesures d’équité territoriale visant à « garantir les mêmes droits aux habitants des quartiers qu'à ceux des autres territoires » . Il en résulte, entre autres, la nécessité de recréer une solidarité de proximité en banlieue en valoirsant les ressources des habitants, ce que l'association Voisin Malin appelle " community building"
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