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Pratiquer en amateur, agir en bénévole : à qui profite le don ?

Illustration représentant un arbre dont le feuillage est fait de mains.

Étude

Le bénévolat a pris une extension importante depuis quelques années dans l’ensemble des sociétés occidentales. En France, il touche de plus en plus de personnes, dans la quasi-totalité des domaines d’activité (culture, sport, santé, environnement, défense de droits…). Entre 1990 et 1999, le nombre de bénévoles est passé de 7.9 millions à 12.5 millions (HALBA 2003).

Ces évolutions s’expliquent en partie par l’extension considérable du temps libre (baisse de la moitié des heures travaillées entre 1936 et 2002) et la recherche d’enrichissement personnel qu’elle favorise.

Dans cette typologie des formes de l'engagement "gratuit", on montre qu'il y a une logique commune à ces deux activités que l'on n'a pas l'habitude de penser en commun (épanouissement et don...) mais qu'il reste des points de divergence essentiels (agir pour soi/agir pour les autres).

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Date : 01/01/2003

Sommaire

 

1) Pratique amateur et bénévolat : commencer par les définitions

2) Les caractéristiques du bénévolat

3) Bénévolat et pratiques amateurs : au-delà des divergences attendues, des convergences nouvelles

4) Dans l’agglomération lyonnaise : enquête en cours sur des logiques contradictoires

5) Identification des enjeux

6) Et le Grand Lyon dans tout ça ?